On se voit, on se parle

On n'arrive toujours pas à trouver un titre...

Le changement à portée de doigts, retrouve ta liberté 

Il était une fois une anomalie dans le système, une société qui se construit avec tes envies sans pour autant que tu y travailles jour et nuit.

Tu peux être donneur·se d’idées, réalisateur·rice de challenges, personnalisateur·rice d’une application selon tes besoins ou tout simplement partager ton témoignage. Bref, nous, on te considère pour l’humain que tu es.

Pourquoi écrit-on ces mots ?

On a pensé que t’en dire un peu plus sur nous, permettrait que tu puisses mieux comprendre qui nous sommes, nos valeurs et nos actions.

Alors au début, on voulait écrire une charte puis finalement comme on a voulu le faire à notre manière, ça ne ressemblait plus du tout à une charte. Peut-être plus à un manifeste. Cependant, même ça, ce n’est pas tout à fait sûr…Du coup, on n’a ni voulu nommer ce document, ni voulu réduire à une norme la manière dont on voit les choses. De cette façon, en lisant le texte qui suit, tu comprendras qui on est tant, dans le fond que dans la forme. Et au fond, c’est peut-être juste parce qu’on avait envie de s’exprimer ou de dévoiler notre vision de la société.

« Vouloir tout nous dire, vous êtes bien mignons, mais pourquoi ? »

Car nous pensons que pour faire connaitre notre entreprise, le plus important est de proposer du contenu riche, d’incarner nos valeurs.

D’après nous, cela sera toujours plus puissant que de diffuser une publicité avec un slogan à la télé ou de monétiser des influenceurs que l’on n’a jamais croisés pour parler de qui nous sommes.

Et pour tout vous dire, nous, ce que l’on sait faire de mieux, c’est de vous raconter notre vérité sans ChatGPT plutôt que de paramétrer une publicité sur Meta pour arriver à vous toucher.

Toujours est-il que ce texte, il existe, en libre accès, à toute heure, sans avoir à payer pour le garder en haut de ton fil d’actualité, alors maintenant que tu es au courant de notre volonté, on te laisse n’en faire qu’une bouchée.

Bonne lecture !

Il est parfois difficile de savoir ce que l’on veut être demain, car la seule chose dont nous pouvons être sûr·e·s, c’est qu’on est sûr·e que l’on sait que l’on ne sait rien et que… Bref, tu as compris.

Pour nous, te dresser la liste de ce que l’on ne sera jamais – peu importe la temporalité- nous n’avons, pour cela aucune difficulté. Les doigts dans le nez !

Hize ne sera jamais une société avec une vision capitaliste

Avant toute autre chose, ce qui nous tient à cœur, c’est ton bien-être.

Hize est une société qui montre que l’on peut exister sans avoir comme premier objectif le profit.

« Et alors, qu’est-ce que tu as à répondre quand on te dit que « Si c’est gratuit, c’est que c’est toi le produit ! » ? »

On répond que l’on est tout à fait d’accord ! Lorsqu’un produit est gratuit, ce sont souvent les données des utilisateurs qui permettent d’en tirer du profit. Chez nous, ce n’est pas le cas.

D’autant plus que Hize n’est pas gratuit ! Nos partenaires nous rémunèrent.

Grâce à eux, nous pouvons rester qui nous sommes et faire les choses à notre manière.

Hize ne sera jamais une société conformiste

On nous a toujours appris que les clefs de la réussite se trouvaient dans un 8h-17h en chemise-cravate avec une pause-café et des réunions à n’en plus finir parce que les trous dans l’agenda donnent une mauvaise impression auprès du patron.

Chez Hize, on a compris les choses différemment, c’est notre petit côté « enfant sauvage » sans

doute, mais pour nous le plus important, c’est de faire les choses comme on l’entend même si

cela ne plait pas à tout le monde.

C’est de s’épanouir dans notre travail, de proposer du contenu sur ce que l’on ne veut souvent pas nous dire en face. Et, on met tout en œuvre pour y parvenir, quitte à casser les codes, à ne pas faire de pause-café, à aller à contre-courant de cette vague numérique dans laquelle notre humanité se noie et notre futur devient une épave.

Hize ne sera jamais discriminante

Chez Hize, la différence est une force et ne sera jamais un critère discriminant.

Chacun·e est accepté·e avec sa singularité. Pas de place pour l’individualité ! Nous pensons que le collectif sera toujours plus puissant que des individualités éparses.

Ce qui compte pour nous, c’est ce qui t’anime et non pas ton apparence.

Pour cela, nous ne laissons personne sur le bas-côté, chacun·e est traité·e comme un être humain.

On t’attend si tu veux vivre l’aventure à nos côtés !

Hize ne sera jamais branchée

On ne parle pas de fashion week, mais plutôt de nos habitudes de geek.

Non, plus sérieusement…cela n’empêche pas de trouver une technologie performante. Pour autant, l’usage que l’on en fait doit être réfléchi et ne doit pas nous faire foncer, tête baissée, en se disant qu’une innovation technologique est toujours bonne à prendre sans mesurer les impacts sociaux et environnementaux qu’elle cause.

D’ailleurs, les seules personnes qui vous répondront n’auront justement pas d’algorithme à la place du cœur. Alors, ici, on ne trouvera pas de robots dans ce que l’on te propose…d’ailleurs, on s’excuse par avance si on prend plus de temps à répondre qu’une requête ChatGPT, mais on assume. On ne veut pas participer à cette course effrénée du « toujours plus numérique ».

On prend le parti de ralentir et de prendre le temps de discuter avec quelqu’un sans téléphone dans les mains.

Puisqu’on peut décider de voir le verre à moitié plein ou à moitié vide, oublie tout ce que tu viens de lire et retiens que Hize sera toujours là pour toi.

Laurine est myope et Béryl astigmate, mais malgré cela, on a bien les yeux en face des trous, d’où notre volonté de te partager notre vision.

Notre vision de la rencontre

Celle d’avant, des bras levés dans la rue, des mains qui saluent, des sourires à n’en plus finir, un brouhaha dans la file d’attente chez le commerçant, de partout, même avec ceux qu’on ne connaît pas et qu’on ne reverra plus.

Bref, pas celle d’un son de clochette sur des écrans noirs avec un « Slt, cv ? ».

Depuis le début, on parle de « face-à-face », mais peut-être que nous faisons erreur, il serait plus juste de parler de visage-à-visage.

« Le visage n’est pas une partie du corps comme les autres, il s’en détache. Qu’est-ce qu’une discussion sans lui ?

Pour fonder du lien, il faut la singularité des traits pour que chacun puisse répondre de ses paroles, de ses actes et être reconnu de son entourage.

Le visage est le lien de la reconnaissance mutuelle, entamer une conversation implique de donner et à comprendre à son interlocuteur un visage nourri de sens et de valeur. Impossible en ce sens de se parler sans se regarder, c’est-à-dire suivre sur le visage de l’autre les fluctuations affectives des propos échangés.

La disparition du visage traduit la fin de toute éthique, celle de la confiance qui seule permet l’établissement d’une réciprocité dans le lien social.

Un individu masqué devient un invisible n’ayant plus de comptes à rendre à personne puisque nul ne saurait le reconnaître et le mettre devant sa responsabilité de ses actes ou de ses paroles.

En ce sens, l’anonymat autorise toutes les exactions possibles sans craindre d’avoir des comptes à rendre, comme c’est finalement le cas derrière des commentaires sur les réseaux sociaux. » David Lebreton, La Fin de la conversation, 2024.

Bref, on pourrait en parler des lignes et des lignes, tellement que cela soulève des émotions chez nous.

Tu l’as compris, pour nous la rencontre, elle se vit.

« On s’est compris en un regard », toi aussi, tu as entendu plus d’une fois cette phrase et elle n’est pas fausse, effectivement les yeux se parlent peut-être même plus que nous.

D’ailleurs, si un jour, tu es amené·e à recroiser un camarade d’enfance après des dizaines d’années sans vous être côtoyés·es, ce n’est pas sa veste qui réveillera tous vos souvenirs, mais son visage qui n’aura que peu changé.

On te laisse méditer… 

Notre vision du numérique

Un humain n’a pas besoin d’un téléphone dans les mains, mais de manger à sa faim.

Un humain n’a pas besoin d’une montre connectée pour mesurer son pouls, mais d’être en bonne santé.

Un humain n’a pas besoin d’une maison connectée, mais d’un toit pour être en sécurité.

On pourrait nous dire un peu « boomer » quand on parle du numérique et pourtant on pense qu’au contraire, c’est qu’on est un peu trop au courant de comment cela se passe.

On vous parle souvent des GAFAM (Google Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) qu’on appelle GAMAM (Google, Amazon, Meta, Apple, Microsoft) aujourd’hui, car Meta regroupe Facebook et Instagram. Ces sociétés sont celles qui dominent le secteur du numérique. Alors elles se régalent de nos données et ne se gênent pas pour entacher notre vie privée.

On ne cautionne pas ce que font ces entreprises.

Et on pourrait déblatérer des heures tant le sujet est vaste…

On n’est pas résolument contre le numérique, cela serait très hypocrite de notre part de le dire.

Pour nous, le numérique peut avoir certains atouts dans certaines situations comme appeler en cas d’urgence ou en cas de manque de sécurité.

Les innovations technologiques, on les trouve parfois impressionnantes et parfois absurdes. Pour autant, ce n’est pas une raison pour les laisser envahir notre quotidien et les laisser dans les mains de tout un chacun.

D’autant que l’on a tendance à ne pas avoir conscience de la matérialité du numérique. Parce que oui, contrairement à ce que l’on veut nous faire croire, ce n’est pas juste un petit nuage qui flotte le numérique ! Bien au contraire et ça pèse bien lourd en empreinte carbone !

Et, si autrefois, construire une centrale téléphonique était une fierté, aujourd’hui, on cherche de plus en plus comment le cacher.

La frontière entre ce qui est humain et ce qui est numérique est devenue de plus en plus fine.

On tente de reproduire les comportements humains dans les nouvelles technologies. Quand on entend « nouvelle technologie », on se réjouit de voir que l’humain sera augmenté, que le temps va se libérer.

Sauf que l’on ne veut pas se leurrer.

Depuis de nombreuses années, du temps, on s’en est sacrément libéré et pourtant on ne connait pas une personne qui n’a pas déjà prononcé « Je n’ai pas le temps ». Oui, parce que maintenant exempts·es de certaines tâches, nous nous sommes attelé·e·s à en créer des nouvelles : le scroll sur les réseaux sociaux, vérifier notre flux d’actualités, répondre aux messages…

En nous connectant toujours plus, on finit par débrancher au fur et à mesure des fragments d’humanité qui reste en nous. Ce n’est pas le monde dans lequel nous souhaitons vivre.

 

Notre vision de l’humain

Si tu n’as toujours pas compris que l’humain, c’est notre richesse, on te laisse relire tout le document.

 

Notre vision de la société

Pour continuer avec notre côté « vieux grincheux », on a encore un petit « coup de gueule » (on a bientôt fini, promis !) sur notre société.

Nous avons la sensation que la société s’est atomisée. Nous ne sommes plus une société unie, mais un ensemble dessoudé d’individualités.

Chaque individu pense à lui avant de penser au collectif. On ne te croit pas si tu nous dis que dans les transports en commun, ça ne te dérange pas d’entendre la vidéo sur le téléphone du voisin, le son à fond.

L’atmosphère ambiante instaure un climat de méfiance envers l’autre, les visages fermés. On préfère ne pas aller vers l’autre car on ne connait pas ses intentions. On a perdu confiance en l’altérité, ce qui initialement a fait la force du collectif. On a le jugement facile plutôt qu’être dans une optique d’acceptation.

Cela a liquéfié nos relations, nous fuyons les relations solides par oubli de la notion d’effort.

On va préférer des comportements de confort que des actes qui nous demandent des efforts.

On n’a pas envie de rester les bras croisés dans cette société, c’est pour ça que nous agissons et c’est à la portée de chacun !

Il est surtout important de comprendre que tu peux aussi être acteur·rice du changement.

Quand tu ne réponds pas à un « Bonjour », tu participes à la création d’une société individualisée.

Quand tu utilises un téléphone, tu as sans le savoir sur les mains le sang des enfants morts et des femmes violées pour le fabriquer, tu participes au forage de carrières sans fond qui causent des cancers au sein des populations, à l’assèchement de rivières et à la pollution de l’eau pour des populations entières.

Quand tu mets quelque chose dans ton assiette, tu fais des choix sur le monde dans lequel tu vas vivre demain.

Quand tu ouvres la plateforme d’un GAFAM, tu réponds « oui » à bien plus que juste faire don de tes données ou « juste » te faire manipuler.

Alors nous, on est partisan de faire un peu plus d’efforts pour le collectif, quitte à sacrifier notre confort.

Et toi, dis-nous, dans quel monde tu veux vivre ?

Notre vision de l’informatique

Remontons un petit coup dans le temps.

Il fut un temps où l’information était diffusée uniformément à chacun.

Par exemple, lorsqu’un journal paraissait, il n’en existait qu’une seule version et chaque personne qui le lisait avait accès à la même information. Il en allait de même pour une émission de radio ou de télévision.

Aujourd’hui, ce n’est plus pareil.

La presse écrite n’est plus la source d’information principale.

On s’informe sur internet et c’est là que le changement s’opère !

Bienvenue à l’ère du chaos informationnel ! Et encore, on est plutôt gentil en parlant ainsi…cela n’est même pas rendre service à ce qui est actuellement en train de se passer.

Tout d’abord, l’information n’est pas diffusée uniformément à tous.

Les données que tu sèmes comme un petit poucet sur la toile et les réseaux sociaux lors de tes sessions de navigation sont utilisées pour orienter le contenu qui t’est proposé.

Nous sommes chacun·e isolé·e·s dans des bulles informationnelles avec des polarisations extrêmes en te faisant entendre ce que tu veux bien entendre.

Cela participe à l’écart qui se creuse entre nous lors de discussions dans la vraie vie.

Ensuite, l’information n’est plus fiable.

Quand on regarde de plus près aujourd’hui : pour diffuser de l’information, plus besoin d’être journaliste, il suffit de posséder une connexion à internet et le tour est joué.

L’information pourrait venir du voisin, de la grand-mère, de l’oncle de ton pote, de ChatGPT ou de l’AFP qu’elle apparaîtra de la même manière à tes yeux. On sait combien c’est compliqué de s’y retrouver. De plus l’information n’est pas toujours sourcée…

Il n’est pas rare de voir des médias diffusant des informations erronées. On comprend ceux qui disent : « on ne sait même plus où s’informer ».

Les fake news fleurissent de jour en jour et le pire, c’est qu’elles se propagent bien plus rapidement qu’une information vérifiée. Le pire devient le meilleur pour les algorithmes qui poussent l’information en haut des flux d’actualités…ça fait un peu flipper !

Bref, en plus de tout ça il y en a beaucoup trop, on nous gave d’un flux continu d’informations inutiles. Une réelle infobésité est née ! Certaines informations, sont sans doute utiles, mais noyées au milieu des autres, on a banalisé les informations qui pourraient nous toucher. Le fact-checking est devenu impossible tant le nombre d’informations à étiqueter comme erronées est grand. On en vient malheureusement à chercher ce qui est « vrai ».

Résultat, on n’est pas informé correctement et cela engendre des conflits qui n’auraient jamais dû exister.

Pour nous, l’information doit être en libre accès, identique pour chacun·e, sourcée et l’on doit connaître la volonté qui se cache derrière la personne qui diffuse l’information afin de pouvoir se faire sa propre idée de ce qui nous est proposé. 

Finalement, tu l’auras compris, on n’a pas créé une application, mais un outil qui incarne nos valeurs.

« Allez des valeurs, des engagements, de belles paroles et donnez-nous aussi vos bonnes résolutions pour la nouvelle année, comme ça on aura fait le tour ! »

Pour les bonnes résolutions, on n’attend pas la nouvelle année.

Nous, on voulait t’énoncer nos valeurs comme si on annonçait une ligne de conduite qu’on suivait inconsciemment depuis toujours et de laquelle on ne dérogera pas.

Hize est humaine

Le cœur de Hize repose sur l’humain tant en interne qu’en externe par nos actions. Nous considérons la personne avant tout. Il n’y a pas une action menée sans réfléchir à l’impact et aux bénéfices que cela peut avoir.

Hize est pensée pour son bien et vraiment pour son bien. On défie quiconque de nous dire le contraire. Si ces écrans et réseaux sociaux nous font plus que jamais s’asseoir les uns aux côtés des autres sans échanger le moindre mot, dans la rivalité, la comparaison et la jalousie, nous, on souhaite voir se réunir de nouveau les humains avec le sourire jusqu’aux oreilles.

Si demain, Hize n’est plus humaine, son cœur s’arrêtera de battre.

Hize est authentique

Made in notre manière.

Pourquoi vouloir créer son entreprise, mettre en action ses valeurs, sa vision, ses couleurs et son odeur, si c’est pour qu’on soit finalement dicté par des codes, des matrices SWOT, un Business Plan ou un Business Model Canvas, tout ce qu’on écrit mais qu’on ne lira pas. Nous, rien de tout ça. Rien n’est fait pour que notre site soit le premier dans tes résultats de recherche et si nos mots te restent dans le cerveau, ce n’est pas qu’ils sont sortis d’un labo, mais parce qu’ils te font écho.

Tout est fait by « nous » et c’est plus doux. Avoir pris le risque de créer son entreprise, autant y être vraiment libre, sinon retour derrière un CDI qui te dicte ta vie où tu n’es pas libre de suivre tes envies. Pourquoi faire un BAC+5 qui nous permet de construire de quoi s’émanciper pour finalement être bridé·e·s au sein d’une société ?        

Fidèles à qui nous sommes, quoi qu’il arrive, dans nos actions et nos pensées, on s’affranchit d’avoir créé une entreprise pour se structurer. Ainsi on reste au plus proche de nos convictions sans être à la recherche du profit.

Alors oui, on nous l’a assez souvent dit : « Tu vas la couler ta société si tu ne veux pas faire d’argent ».

On n’écoute pas, on reste droit dans nos bottes, authentique quoi… parce que l’on préfère travailler avec des gens qui sont en accord avec nos valeurs et c’est ainsi que l’on créera une communauté qui pérennisera notre existence.

Hize est saine

Saine et vraiment saine. On t’a tout dit, là où on pêche, ce qu’on fait du peu de données qu’on a de toi, comment on se rémunère, nous n’avons pas mis de publicité, pas de captologie, pas de notification persuasive, où est la malhonnêteté dans tout ça ?

Nulle part, et à la différence de beaucoup, on ne te fait rien croire, on agit.

Si dans un supermarché, on te fait croire qu’il est plus sain pour toi de te balader au rayon diététique et de consommer un soda « zéro sucre » plutôt qu’un vrai soda, nous pas de mensonge, pas de fausses étiquettes, consomme-nous sans modération !

Des personnes saines pour une société saine. On pense qu’être honnête comme on l’est dans ce texte, c’est aussi notre manière de te montrer que ça ne coûte rien de te proposer des produits sains et surtout que tout le monde peut le faire !  Alors, on y tient, tout ce qu’on veut c’est faire du bien.   

Hize est audacieuse

Un tout petit rappel de nos concurrents : Google, Microsoft, Apple, Facebook, Instagram, Tinder ! Rien que ça quoi ? Une vallée connectée…

On mesure 1m62 et 1m70 d’audace. Vouloir toucher ceux qui te manipulent et te font rêver, il faut y aller !

Alors on y va !

De l’audace, nous en avons à revendre, pas de honte, pas de crainte, on fonce !

On a toujours su qu’il fallait faire bouger les lignes pour obtenir ce à quoi on aspire et pour tenir nos engagements. Ce n’est souvent pas très académique, mais c’est ce qui amène à un changement.  Être disruptif, c’est devenu notre mode de vie.

Nos valeurs, elles ne sont sûrement pas faites pour dormir sur un slide de présentation marketing, bien au contraire, si elles sont écrites, c’est pour les mettre en pratique.

Au fond, on n’avait sans doute pas trouvé la société dans laquelle on voulait travailler, alors on l’a créée.

On a voulu voler de nos propres ailes pour que personne ne puisse nous influencer hahaha !

Allez, plus sérieusement…

On a voulu rester indépendant financièrement pour garder la main sur nos contenus.

Dans le monde des start-up, la première chose qu’on entend, c’est « alors, tu as des investisseurs et ta levée de fonds, c’est pour quand ? ».

Tout d’abord : « Bonjour, enchanté, alors comment t’expliquer… ».

Eh bien, on va faire simple :

On a choisi de dire « non » aux investisseurs pour que les seuls actionnaires soient nos clients.

Nous préférons avoir la liberté de prendre des décisions qui ne nous rapporteront pas d’argent mais parce qu’on les trouve justes.

Alors, pas de publicité, même si on sait que ça pourrait nous rapporter.

Nous préférons grandir à notre rythme pour rester fidèles à qui nous sommes et ne pas céder à cette volonté de croissance continue qui n’est pas la nôtre.

On va peut-être beaucoup, beaucoup, beaucoup moins vite que les autres, mais notre authenticité est notre plus grande richesse et pour rien au monde, on la troquerait contre de la monnaie.

Nous ne souhaitons pas réduire le travail que l’on mène à un marathon vers le profit. On est indépendant financièrement, pour garder notre intégrité et pour que nos actions soient le brassard de nos valeurs. 

Tel un pop-up enquiquinant sur ton écran, on a voulu apparaître partout pour que tu ne puisses pas nous louper. On ne savait pas trop où tu te trouvais, donc au lieu de jeter une bouteille à la mer, de t’envoyer un pigeon voyageur pour te joindre, on s’est dit que le plus simple était sans doute de passer par internet…aïe aïe aïe.

Mais, pour cela, pas le choix, on a dû se démultiplier, alors tu peux retrouver notre double numérique sur nos réseaux sociaux et notre site web et nous lire de temps en temps sur notre newsletter.

Tu auras beau cliquer sur « fermer la fenêtre » qu’on continuera à t’inciter à ouvrir ta porte et nous rejoindre dans la rue !

Plus haut, on parlait du fait que Hize ne sera jamais discriminante et bien voilà, on reste fidèle à qui on est. Peu importe par quel moyen, tu peux tout nous dire, nous sommes prêt·e·s à tout entendre (les réseaux nous ont forgé·e·s).

On te défie de trouver, sur notre site web, une page sans que tu ne puisses pas nous laisser ton avis, ton commentaire sur ce que tu as lu ou visionné ou que tu ne trouves pas notre formulaire de contact.

Si tu utilises les réseaux sociaux, tu peux nous suivre sur Instagram, Facebook et TikTok.

Si les réseaux, ce n’est pas ton truc, tu peux t’inscrire à notre newsletter qui ne t’informe que de choses très très très importantes.

Et, pour celles et ceux qui n’ont rien de tout ça, tu peux nous trouver dans la rue ! Comment savoir que c’est nous ? C’est simple, si tu entends une jeune femme qui dit « Bonjour » à tous les coins de rue, c’est Laurine et pas loin, il y a Béryl, qui tente en vain de la suivre avec une caméra !

En ligne, ou hors ligne, on est sur tous les fronts à Paris, on ne laisse personne sur le bas-côté. Aussi, pas de jaloux, chaque contenu d’information est partagé équitablement sur tous nos moyens de communication.

« Ok ok ne vous vantez pas trop, vous êtes quand même plus présents sur le numérique ! »

Ah non ! On a plus d’un tour dans notre sac !

On se balade aussi dans tout Paris avec une table sur le dos et des chaises pour que chaque personne qui le souhaite, puisse s’asseoir le temps désiré afin de trouver une oreille disponible et puisse jouer à notre quiz sur la santé mentale pour amorcer la parole dans la douceur.

Et oui ! On te l’avait dit, Hize c’est accessible pour tous !

On fait ce qu’on dit.

Non, plutôt, on dit ce qu’on fait.

Bref, si tu veux sortir de ta grotte, tu es le·la bienvenu·e, on se rendra toujours accessible pour toi !

Quand on fait les choses, on ne les fait pas à moitié.

On ne donne pas seulement des titres à mettre à la une dans les journaux « Hize, LA société qui ne sera jamais discriminante ». Nous ne sommes pas là pour combler notre égo.

Si la langue française a créé des écarts entre l’homme et la femme, au-delà d’un organigramme à plat, on a pris le parti d’être inclusif·ve dans notre écriture parce que les engagements on ne les prend pas que sur le papier.

Désolés, chère Académie Française, pour les fautes. On sait qu’elles ne sont pas des plus « académiques »…on préfère faire une faute de français qu’une omission sociale.

C’est, pour nous, un moyen pour que le plus de monde possible se sente inclus dans nos propos.

La langue reflète notre société et elle témoigne des changements que l’on souhaite y opérer.

Parfois, on se casse un peu le crâne parce que notre langue n’est pas forcément toujours adaptée et cela ne donne pas forcément quelque chose de très lisible, donc parfois, on le fait un peu à notre sauce, mais au moins, on tente.

D’ailleurs, tu te sens gêné·e que l’on ne te vouvoie pas depuis le début ?

Ici, on se tutoie entre nous, tout le monde est au même niveau, pas de différence hiérarchique, d’âge ou de statut.

Et, tu sais quoi ? Le respect est encore plus fort. 

« « Blablabla » et à part vos stories du « mot du jour », vous faites quoi de vos journées ? »

Tu veux qu’on échange nos vies ? Nous la nôtre, c’est boulot, boulot, boulot et micro-dodo, 20h de travail par jour, ça te botte ?

On a lancé l’attirail et on déploie l’armement, tiens-toi prêt·e :

 

Premier tir : l’application

« Bon allez vas-y, je vous laisse nous parler de votre application »

Alors c’est plus qu’une application, mais bien un outil de déconnexion…attends, ne râle pas, on va t’expliquer.

Le concept est assez simple, tu ouvres l’application, tu sélectionnes un centre d’intérêt et tu demandes à retrouver quelqu’un qui souhaite parler du même sujet que toi au même endroit, au même moment et surtout en vrai.

Tu commences à comprendre ? Et, pour aller un peu plus loin, écoute bien !

Ce qui t’empêche de te déconnecter aujourd’hui, ce sont notamment les phénomènes addictifs qui se cachent dans le design de tes applications : une couleur bien choisie, un bouton bien placé, une notification pour te faire revenir après 5 minutes d’inactivité. Chez nous, tu n’en trouveras pas ! Le design est pensé pour son utilité, c’est tout.

Dans la même veine, tu ne seras pas pollué·e par les publicités. Ça évite que tu sois tenté·e par le dernier tee-shirt de ton groupe préféré alors que tu étais juste venu·e pour trouver quelqu’un avec qui discuter.

Cette fois, tu es d’accord pour dire que c’est un outil de déconnexion ?

Si ce n’est toujours pas le cas, on te présente notre petite fonction secrète (enfin plus très secrète maintenant) : le statut « ON/OFF ». On fait cette fois-ci d’une pierre deux coups, tu es maître de tes données et avoir ton consentement chez nous, n’est pas une option, alors on en a fait un bouton !

Si tu souhaites passer incognito, sous les radars du GPS, que tu n’as pas envie d’être dérangé·e pour discuter alors tu passes le statut en « OFF ». Autrement, si tu es prêt·e à discuter et à ce qu’on puisse te retrouver alors tu peux passer ton statut en « ON ».

Ah ! Et dernier point, la personne que tu rencontres, ne connaîtra de toi que ton prénom et tes passions !

Le reste, c’est à toi de lui dévoiler si tu le souhaites.

 

Deuxième tir : Hiz’Académie

Des vidéos de vulgarisation compréhensibles par tous·tes à propos de sujets passés sous silence qui font pourtant du bruit dans notre quotidien.

Si tu n’aimes pas notre voix, ni notre tête, on a aussi pensé à toi avec notre rubrique « Tu sais pas quoi ? », il n’y a que du texte.

Notre but n’est pas de tout dire sur le sujet en question mais de faciliter la tâche à tout individu qui souhaiterait se faire son propre avis sans être expert dans le domaine.

 

Troisième tir : les challenges

On bouscule un peu nos modes de pensée avec de l’humour et de la douceur.

 

Quatrième tir : le micro-trottoir

On ne reste pas derrière nos PC à activer nos pouces sur nos claviers, non, on vient à votre rencontre et on vous donne la parole.

Si Mariah Carey somnole en toi, c’est ton moment !

 

Cinquième tir : date ta santé mentale

Si tu n’as plus de fauteuil disponible au jardin du Luxembourg, nous, notre chaise est toujours libre pour toi. Un petit tête-à-tête avec ta santé, ça fait longtemps qu’elle te pose des lapins à chaque RDV, non ?

 

Chez nous pas de programmation, viens quand tu veux et « tkt », on parlera de ce que tu veux ! « Safe place » dans la rue !

20h de travail sur 24h, il nous reste 4h ! « Productivité », on a dit, alors on est sûr de nouveaux projets !

Ahh jamais satisfait de ce qu’ils ont ces humains… 

On va te parler de là, où on galère encore. On n’est pas aussi parfait qu’on le voudrait.

 

Encore sur du numérique 

« Attendez, vous prônez la déconnexion, mais vous nous parlez d’une application ? »

N’oublions pas que notre objectif, c’est d’utiliser le téléphone pour créer la rencontre sans qu’il la remplace et puis qu’à terme, il reste à sa place. 

En gros, ce que nous voulons, c’est changer ce mauvais réflexe inconscient à discuter des journées entières derrière nos écrans en un retour à nos bonnes vieilles habitudes de discussion sur un banc.

Alors pour cela, n’es-tu pas d’accord avec nous sur le fait que si nous voulons que notre voix porte, nous devons arriver à interpeler notre public là où il passe le plus clair de son temps, c’est-à-dire : derrière son écran. Et, cerise sur le gâteau, quoi de plus efficace que d’aller les chercher dans un monde connecté pour les ramener à la réalité ?

Alors oui, c’est vrai, on utilise encore du numérique, mais rappelons l’essentiel qui est de reprendre le contrôle sur notre usage du numérique, pas de l’éradiquer.

S’il peut être un outil comme dans la sécurité, on ne voit pas pourquoi il ne faudrait plus l’utiliser.

Il peut être utile et fort de diffusion. Nous par exemple, on préfère mettre à disposition certaines ressources en ligne comme les vidéos de vulgarisations plutôt que de ne pas les proposer.

 

Encore un peu prisonnier…qui cherche à s’émanciper

 

« Je t’ai vu sur TikTok et tu me fais la morale ! »

Aïe aïe aïe, on frôle la dissonance cognitive.

On se fait tout petit quand on doit vous annoncer que l’application est sur les serveurs de Google, qu’on communique et qu’on interagit avec vous sur Instagram, Facebook et TikTok, qu’on utilise des outils comme Capcut, créé par la même société que TikTok.

Aujourd’hui, les géants de la tech’ ont pris une position monopolistique sur les usages du quotidien. Parfois, on ne se rend même plus compte que de tels logiciels appartiennent à telle ou telle société. Pourtant, des solutions, il en existe et on en connait.

« Okay donc c’est de la mauvaise volonté et de belles paroles qui ne sont pas suivies par des actes ? »

Les réseaux sociaux, on assume pour le moment, on y reste parce que sinon on ne peut plus interagir avec vous. On a aussi besoin de votre force pour créer ensemble une communauté qui souhaite retisser du lien entre humains en brisant la glace des écrans.

En revanche, pour les outils, on essaye au fur et à mesure de « migrer » vers des solutions libres afin de s’extirper de ce boulet au pied qui pèse lourd en données avec les GAFAM.

Par exemple, notre boite à idées, elle n’est pas sur un Google Forms mais un Framaforms.

Finalement, si on vous propose d’utiliser une autre solution qui correspond à vos besoins, c’est un premier pas pour que vous l’adoptiez et, à terme, que vous brisiez les chaînes pour retrouver une indépendance et la souveraineté de vos données.

« Okay, on passe l’éponge pour ça, on a compris que vous vous y mettiez doucement, et l’application alors ? »

Pour l’application, c’est un peu plus complexe.

La seule raison pour laquelle elle est aujourd’hui sur des serveurs de Google, c’est la performance et l’adaptation de charge des serveurs à des tarifs qui défient la concurrence. Et pour débuter, on vous avoue qu’on aurait préféré mieux, mais on n’a pas trouvé.

L’application est disponible sur les stores d’applications de Google et d’Apple. Pour le moment, on peut difficilement vous la proposer autrement.

L’idéal, ce serait que vous adoptiez les bons réflexes et qu’elle n’existe plus.

En attendant, on cherche déjà des solutions pour s’affranchir des technologies propriétaires.

Et, on ne baissera pas les bras, on va y arriver !

On sait que le challenge à relever est grand, mais on avance combat par combat pour ne pas se disperser sur tous les fronts. Toujours à nos côtés pour lutter ?

 

Encore un pas nécessaire pour l’accessibilité

L’application n’est pas encore pensée pour des personnes qui ont des besoins particuliers, notamment en matière de déficience visuelle, mais on ne vous oublie pas. Et, ça, on y a pensé grâce à des personnes comme toi qui nous ont parlé de leur vécu et des difficultés qu’ils·elles pouvaient rencontrer.

On réfléchit, justement, à la manière de faire pour permettre de changer les tailles de police, les contrastes, les couleurs…

C’est dans notre viseur, chaque chose en son temps, mais cela viendra.

Si tu es concerné.e, peut-être que tu peux nous aider en nous partageant tes besoins ? 

On a une vision très claire sur notre méthode de travail : « Produire quelque chose de bien, fidèle à ce qu’on souhaite, et cela, peu importe le temps que cela prendra ».

Alors parfois certains sujets peuvent nous prendre quelques mois. C’est ce qui nous laisse le temps de lire des livres et des articles, de noter les éléments que l’on trouve intéressants à creuser, de vérifier les sources, de corriger les données qui parfois ne sont pas forcément très fiables…d’en discuter entre nous puis d’aller à la rencontre de personnes et d’associations qui connaissent le sujet, de faire des expositions, de discuter lors d’événements.

On veut tout faire de nos propres mains.

En ce qui concerne nos contenus, ils sont faits selon nos goûts et notre sensibilité. On veut proposer ce qu’on aurait aimé lire. Tu n’y trouveras pas de mécanisme addictif ou alors, promis, ce n’était pas le but recherché si certains s’y sont glissés.

Notre relation avec l’intelligence artificielle est un peu houleuse.

On estime que cette technologie n’aurait pas dû tomber dans les mains de tout un chacun.

On a pensé pour rigoler, vous faire une blague en utilisant ChatGPT pour rédiger notre vision de l’IA, mais même pour ça on n’en veut pas. Et, on compte encore moins faire tourner des serveurs pour rien.

Choisir le monde dans lequel nous voulons vivre, ça commence par ses usages. Si personne n’avait utilisé ChatGPT, on n’en serait pas là à vous parler d’IA.

Alors, nous, on sait dans quelle société on veut vivre.

On a vécu et travaillé sans l’IA depuis des années et pourtant aujourd’hui, on entend qu’on ne saurait plus faire sans parce que prétendument cela nous libère du temps, cela nous donne des idées que l’on n’aurait pas autrement ou encore cela nous apporte une aide inédite…

Alors finalement, notre vision, on vous l’a écrite à la main comme 100 % de ce que l’on vous propose.

Si tout ce que tu as lu là ça t’a fait sourire, t’as touché·e ou fait réfléchir, et bah oui, tout ça, c’est ce qui fait l’authenticité d’un humain, là où l’IA ne nous égalera jamais.

On ne te ment pas, on vérifie tout ce que l’on te dit, on te propose du contenu qu’on a vérifié. Et, au-delà de le vérifier, on le replace dans son contexte et dans celui de l’auteur, on croise les sources, on tente de retrouver, si elle est disponible, l’étude qui a été initialement conduite. Quand nous te partageons notre opinion, celle-là n’engage que nous et on fait au mieux pour que cela soit clair.

Ta vie privée, on en prend soin.

On ne te demandera que les données dont on a vraiment besoin.

Et, même celles-ci, on sait que tu nous les prêtes, on n’en fera jamais une source de profit.

« Mais moi, je n’ai rien à cacher ! »

Cette phrase, qu’est-ce qu’on l’a entendue !

Si tu ne le fais pas pour toi, fais-le pour les autres. Parce que tout ce que tu diffuses peut-être relié à tes proches et donne des informations qu’ils n’auraient pas forcément souhaité partager.

On pense que même pour toi, ça devrait être une préoccupation.

Si on te demande de nous envoyer toutes tes conversations par messages, tes e-mails, tes photos et tes documents, tu nous les donnes sans hésiter ? On espère que ce n’est pas le cas !

Et, si on s’introduit dans ta maison, c’est toujours « okay » pour toi ?

Parce que finalement cela revient au même, accéder aux données sur ta vie privée, c’est donner les clefs de ton intimité.

Un jour, elles pourraient être utilisées à ton insu pour t’influencer lors d’un achat, d’une élection, pour orienter la publicité et l’information qui te sont proposées, ou alors pour t’extorquer de l’argent, te faire du chantage, te pirater, ou encore pour usurper ton identité… toujours rien à cacher ?

Une meilleure maîtrise de son smartphone passe par la compréhension de ce qui s’y passe à l’intérieur. Et, on te le dit, c’est l’embouteillage (comme sur l’Everest) sur l’autoroute des données !

 

La Ruée vers l’or a eu ses beaux jours, aujourd’hui place au fleurissant âge d’or des données. Cette ressource si précieuse dont la quantité n’est même plus représentable.

Ces entreprises qui les récoltent, sont des cueilleurs de données, qui aiment faire germer en toi des idées qui ne sont pas les tiennes.

Alors que nous, les seules fleurs que nous ferons pousser seront des pensées.

Les couleurs

Ah là là les couleurs…

Le rouge, il fait appel à l’action et à l’urgence.

Le jaune pour l’optimisme et l’accessibilité.

Le bleu pour la confiance et la…désolés pour les daltoniens…

Nous, encore une fois, on n’a rien fait de tout ça puisqu’on n’a pas cherché à connaître leurs rôles dans nos prises de décision, bref !

Nous le violet, c’est notre couleur préférée, le bleu pour les papillons morpho bleu et le vert parce qu’on adore la jungle.

 

Le nom

Laurine, cherchait un truc avec « excuse » et Béryl avec « hello » et voilà « abracadabra » ça a fait « Hi + ze » avec une guitare à la main, un soir d’hiver.

Quoi, tu n’as toujours pas compris ?

« Hi » : pour « Hiii ! » ou « hello ! » en anglais.

« Ze » : dis « excuse » à haute-voix…et beh voilà…on a juste pris la fin, malin, non ?

Hize, l’application qui est l’excuse de se dire « Bonjour ».

Le logo

Les plus beaux messages se lisent dans les yeux (en face-à-face… ok, on est lourd)

Dans le logo, ce sont deux bulles en forme de message avec des pupilles à l’intérieur.

Smart, non ?

D’ailleurs pas besoin de Duolingo pour savoir que les yeux en anglais, c’est « eyes »

Encore plus smart, non ?

 

Le slogan

On se voit, on se parle.On a vraiment besoin de te l’expliquer ? Pourquoi faire compliqué lorsqu’on peut faire simple ? Alors, on va droit au but, simple et efficace.

En plus, avec le temps, on s’est rendu compte que Hize ça passe partout.

Hize Breaker : Hize brise la glace des écrans.

Hiz’académie : apprendre en vidéo.

B’hize : pour se dire au revoir.

B’haiiize : pour se dire au revoir quand on est fatigué (et pas des écrans hein).

Hizamine : si ce n’est pas clair relis page xxx.

Score Hiz’être : là aussi page xx (on ne va pas perdre du temps à te réexpliquer, hop hop hop efficacité dans ce monde hyperconnecté).

Hizeur : un membre de notre famille.

Chiize : à prononcer sans arrêt pour faire sortir tes quenottes sur tes photos de famille. 

Score Hiz’être

Après la course au « A+ » à l’école primaire, voilà l’arrivée dans nos supermarchés du « A » vert foncé ou d’un « E » rouge mis au point par des médecins nutritionnistes, ces juges impitoyables qui brisent nos rêves de grignotage. Est-ce un score qui prétend nous guider vers une alimentation plus saine ou est-ce encore une absurdité humaine ?

Comment peut-on expliquer qu’un soda « zéro sucre » soit noté « B » et que de l’huile d’olive, notre trésor méditerranéen, on lui colle un « D » ?

Bref, c’est tout sauf un score qui prend en compte nos émotions ou notre amour inconditionnel pour le saucisson.

Alors, qu’en est-il d’un score pour notre santé mentale dans tout ça ?

C’est simple… tu ne trouves pas ce que tu veux, alors… crée-le !

Technicien d’intervention d’Urgence de la Déconnexion, j’écoute ?

Je suis perdu·e, je ne sais plus quoi consulter comme contenu !

Pas de panique, dorénavant fie-toi au score Hiz’être, il est conçu pour te guider vers ton mieux-être ! 

Oui oui, mieux-être, c’est ça…comme le cadeau de ma grand-mère 

« Le langage de tes 5 blessures qui t’empêchent d’être toi-même » ?

Non, cette fois-ci, tu ne vas pas perdre ton temps, au contraire, on t’en fait gagner parce que le score t’aide à sélectionner le contenu que tu veux consommer en fonction de nos 4 engagements :

Si tu es frileux·se pour ta vie privée, vise le « H » d’ « Honnête ».

Si tu es le·la sceptique de service, vise le « I » d’ « Information ».

Si tu es l’anxieux·se d’une coupure de réseau·x (sociaux), vise le « Z » de « Zennnnn ».

Si tu es le·la délégué·e de ta classe, la personne qui claironne « moi je ne peux pas j’ai association le dimanche matin à 6h pétantes » ou le·la délégué·e du CSE, bref, vise le « E », de « Ensemble ». Tu ne feras pas fausse route.

Ah, enfin des lettres qui ont du sens pour mon mieux-être !

Et si tu es un lieu qui a envie d’obtenir ton sticker personnalisé, empresse-toi de nous contacter !

Hizamine

Tu as tout essayé, les livres de développement personnel, les bullets journal, tu envisages même la semaine de retraite digitale qui va te coûter plusieurs milliers d’euros pour finalement déposer ton téléphone dans un coffre digital…la loose quand tu sais que tu viens de payer un rein pour t’acheter le smartphone que tu as dans les mains.

Si un jour, on nous avait dit qu’on pouvait trouver en libre accès un comprimé pour se déconnecter, on parie que tu aurais fait comme nous, tu aurais fait le plein pour guérir dès le lendemain !

On parle bien d’un comprimé pour se déconnecter et pas d’une pilule à base de mélatonine, méthis, magnésium, valériane, vitamine B6 bref… tout ça soi-disant pour t’aider à dormir après t’avoir vendu et mis des écrans sous les yeux à n’en plus finir.

Puisqu’on ne fait pas semblant, quand on te dit qu’on aime l’humain.

Celui-là de cachet, il est sain.

Voilà Hizamine 150mg, un comprimé qui contient du Curiosol en grande quantité. Ce comprimé est indiqué dans des cas de dépendances légères à sévères aux écranoïdes. Exemple de symptômes : pouce collé à l’écran, solitude, manque de lien social, sommeil perturbé ou yeux qui piquent.

Tu te reconnais dans ces symptômes et tu veux t’en sortir ?

On va te dire la vérité comme à chaque fois, un cachet magique, ça n’existe pas !

On te propose de commencer en douceur à remplacer ton temps à scroller par de la consommation de contenu qui peut t’intéresser. Des livres, des films, des pièces de théâtre, bref on est sûr que tu trouveras ce que tu es venu chercher !

Et, si tu pouvais être actionnaire d’une société, dans laquelle tes idées seraient la seule monnaie ?

Et ce n’est pas fini.

Dans une société engagée socialement pour le bien de l’humain ?

Et ce n’est pas fini, on va encore plus t’en mettre dans la vue (et sans dark pattern)

Une société qui offre un produit de déconnexion et qui met en lumière des phénomènes que l’on a banalisés, des phénomènes qui nous entourent dans notre quotidien et qui nous mettent pourtant en danger ?

Okay ça claque non ?

Bon, si ce n’est pas le cas, on ne peut plus rien pour toi, on a sorti toutes nos cartes, qui on est quoi !

Si nous t’avons convaincu·e, comment agir concrètement ?

Tu es joueur·se, tu es prêt·e à relever tous types de défis ? Rends-toi sur notre site web sur le canal « challenge ». Tu peux t’inscrire à celui qui te plaît le plus et on repartage ta vidéo sur nos réseaux !

Tu es « smart » ? Nos cerveaux fument parfois, aide-nous à les refroidir ! Toutes les idées sont bonnes à prendre, dépose la tienne soit sur notre site web, soit sur notre compte Instagram !

TOI + NOUS = AMOUR FOU

Tout est ouvert 7j/7 et 24h/24, ne te limite pas !

PS : Heureusement qu’on prône la déconnexion… 

On espère qu’à travers les lignes précédentes que tu viens de lire, tu auras su lire en nous, nos intentions, notre honnêteté et à quel point l’humain (oui, toi) est la chose la plus précieuse à nos yeux.

Notre combat, on le remportera grâce à toi et avant tout en étant soudés les uns aux autres, alors plus que jamais on serait comblés de te savoir engagé·e à nos côtés, de loin comme de près.

Pour ça, pas de panique, le menu est large, il y en a pour tous les goûts.

On te laisse nous répondre à la question, tu as déjà lu la réponse dans le texte plus haut…

Ahh, tu as oublié ? Ou alors serait-ce un manque d’attention ? Cela fait à peine plus de 8 secondes et on t’a déjà perdu…un vrai poisson rouge !

Tu n’as pas la référence ? Alors regarde notre vidéo !

Sinon, on te pardonne !

Deux humains qui font tout de leurs propres mains et ça vraiment, on y tient !

On préfère parler des causes que nous défendons plutôt que de vous raconter qui on est. Et finalement, est-ce qu’en te racontant tout ça, tu n’as pas mieux compris par toi-même qui nous sommes réellement, plutôt que si on vous l’avait écrit ici ?

Nous, on juge que nous n’avons pas plus à vous raconter, on souhaite que vous vous souveniez de nous pour notre combat et non pour notre CV.

Le plus important, ce n’est pas qui nous sommes, mais ce qu’on a à dire :

Béryl

Le numérique a pris une place trop importante dans notre vie et particulièrement dans nos liens sociaux. Ce qui avait pour vocation de nous connecter, aujourd’hui nous sépare. J’ai toujours pensé qu’il était nécessaire de comprendre les outils que l’on utilise pour garder un contrôle sur notre usage. Cela se traduit, par exemple, par le fait de comprendre ce qui entraine l’utilisateur dans la dépendance à une application pour ne pas reproduire les concepts néfastes lors de la conception d’une application.

Avec Hize, l’humain est remis au cœur des préoccupations pour que le numérique reste un outil. Un outil pour aider à aller vers l’autre.

 

Laurine

Notre souhait est de vouloir graver à l’encre noire nos mots, notre vision, pour toutes celles et ceux qui passent sur notre chemin. Un jour viendra notre tour où nous disparaitrons et pour ça nous souhaitons que l’impact de nos actions soient le seul dépositaire de nos écrits. Le combat à mener est plus long qu’une vie, si notre début peut aider et propulser nos générations à venir, alors nous aurons accompli notre réelle raison d’être.

Ce que tu viens de lire sort de la fusion de nos deux plumes, on l’a écrit dans notre 25m2 là où Hize est née de notre force, indestructible, nous deux ensemble avec nos appétences respectives dans ce combat.

Comme pour notre produit, nous n’avons pas de personae, ces mots s’adressent à qui veut échanger en vrai.

On ne fait pas les choses dans un but précis ni pour un public en particulier.

Ces quelques lignes, elles sont faites pour tous ceux qui passent par là, les curieux de passage, celles et ceux qui se sont perdu·e·s en naviguant de page en page, celles et ceux qui ne savent plus comment rester concentré·e·s pour lire un document, celles et ceux qui souhaitent travailler avec nous, celles et ceux qui manquent de personnalité et qui veulent nous ressembler, celles et ceux qui n’ont toujours pas compris qu’une copie n’égalera jamais l’original ou juste toi qui n’as pas de raison en particulier, mais qui veut en savoir plus sur qui nous sommes et ce que nous faisons.

Si tu arrives à lire ces quelques mots, cela veut dire que tu as réussi à te déconnecter un certain moment.

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